Newsletter n° 55 - Août 2024

Mesdames, Messieurs, chers collègues,

                 L’année 2024 est particulière, un angle spécifique qu’il est complexe de définir précisément. En effet, la disparition du SSR fait sentir ses effets durables, l’évolution de l’encadrement apporte de la fraicheur mais renouvelle nos habitudes et la hausse de l’activité, rapide, apporte bénéfice et difficultés dans un même temps. Pour autant, l’appareil continue, malgré les changements de fonds, à fonctionner correctement, en cela, dans un premier temps, je voulais apporter mes remerciements sincères à l’ensemble des équipes. Les investissements de bon nombre d’entre vous sont palpables, malgré des changements importants : l’apport de BLSoins, un projet délicat, embolisant et tout sauf simple à opérer, mais également ce défit du niveau d’activité, un plan Vigipirate lourd de conséquences (qui, sauf incident national majeur, sera allégé d’ici quelques semaines), et une injonction d’activité qui contraste avec les années passées.

En somme, nous rendons à échelle de notre lieu d’implantation d’un service public de qualité, ce qui porte tout son sens, et doit guider nos actions du quotidien. Certes, les équipes ressentent une tension forte, sur plusieurs secteurs et activités, mais sachez qu’il est de ma priorité de maintenir un cadre de travail qui permette d’aligner vos valeurs professionnelles avec nos capacités d’actions.

Pour finir, j’aurai une pensée émue pour le Dr DROUARD, fiable et compétent, intelligent et réactif, impliqué et généreux, nous avions quelques projets en cours et à mettre en route. Cette surprise malheureuse nous a tous affecté, mais saluons la personne qu’il était, et gardons en mémoire le personnage qu’il fut.

Encore merci à tous pour votre travail et implication au quotidien, j’ai coutume de dire « nous sommes tous dans le même bateau », et j’essaie de vous le signifier autant que je le peux. Nous traversons des turbulences il est vrai, mais quelle mer est dépourvue de vagues ?

Toutes mes sincères salutations,

G.COMBES